Il faut inventer des partenariats à long terme, durables et lucratifs, entre les entreprises et le secteur caritatif.

Les parties prenantes (direction, clients, employés, actionnaires) jouent toutes un rôle clé dans l'élaboration des actions de l'entreprise, mais partager des objectifs et des idéaux humains rend il philanthrope ?
Pris entre le marteau exigeant des niveaux toujours plus élevés de « responsabilité sociale des entreprises » et l’enclume des investisseurs cherchant à maximiser les profits à court terme, les entreprises cherchent à être plus stratégiques dans leur philanthropie. Elle est alors utilisée sous forme de relations publiques, un marketing lié à une cause améliorant son image de marque ou son positionnement commercial.
L'économiste Milton Friedman affirmait dans un article du New York Times Magazine de 1970 que la seule "responsabilité sociale des entreprises" est "d'augmenter ses bénéfices… Les contributions caritatives devraient être le fait d’actionnaires individuels - ou, par extension, des employés individuels - et non par la société.
La majorité des programmes de contribution des entreprises sont diffus et non ciblés. Plutôt que d'être liées à des objectifs sociaux ou commerciaux bien pensés, les contributions reflètent souvent les valeurs personnelles des dirigeants ou des employés. Oublierait-on que chaque individu au sein de cette société est un donateur potentiel ?
Vous avez un avis sur la question ? Un exemple de partenariat réussi entre les salariés de votre entreprise et une action caritative ? Un fundraising qui s’est avéré motivant pour les collaborateurs et lucratif pour les associations soutenues ?
Venez participer au webinar Jeudi 14 Avril à 14h… Inscrivez vous, posez vos questions, livrez vos témoignages
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