Le respect de l’environnement et des règles sociales garantit un niveau de qualité auquel les voyageurs doivent pouvoir prétendre sur toutes les destinations...
La RSE exige une politique cohérente, les pratiques et les programmes devant orienter les opérations commerciales. La certification constitue une approche positive, sans pour autant modifier la diffusion des pratiques de tourisme durable auprès des clients. Son évaluation porte sur plusieurs catégories : déchets, énergie, utilisation de l'eau, soutien aux communautés locales et protection de la nature.
Réduire les risques potentiels susceptibles d'impact négatif sur la valeur de leurs actions pousse les entreprises à se doter d’une politique RSE. Cette mesure s’adresse aux partenaires de la chaîne d'approvisionnement afin d’assurer des opérations plus responsables sur le plan environnemental et le cadre social. La transparence impose des rapports annuels qui documentent les améliorations, l’apport aux communautés locales, les conditions de travail, ou encore le dialogue social.
Pour que ces certifications jouent pleinement leur rôle, il devient indispensable qu'un organisme mondial spécialisé normalise et surveille l'adoption de critères afin d’accroitre sa compréhension par le plus grand nombre.
La sensibilisation et l'intérêt des consommateurs sont à ce prix, tant ils sont actuellement déboussolés devant la multitude de labels ; cette normalisation objective favoriserait l’adhésion des professionnels, qui sont à peine 1% à s’etre dotés d’une certification. Simplifier leur communication via des campagnes de sensibilisation doperait implicitement la demande des consommateurs. Au lieu de s’écharper sur les prix, pressant leurs prestataires locaux, les professionnels développeraient leur production pour que des programmes certifiés, respectueux de l’environnement et des règles sociales puissent garantir un niveau de qualité auquel les voyageurs doivent pouvoir prétendre sur toutes les destinations.
Contrariés pendant la crise pandémique à des vacances locales, ils veulent repartir à l’assaut de destinations lointaines, tout en s’inquiétant de l’impact environnemental lors de la planification de voyages. Selon un rapport de Booking, 80% des voyageurs européens considèrent que la durabilité est importante et s’engagent à réduire leur empreinte carbone. Les effets du changement climatique sensibilisent aux problèmes environnementaux et influent sur les requêtes des moteurs de recherche. Faute de signalisation claire, le client en quête de sens souhaitant voyager de manière durable, ne dispose pas d’éléments fiables et objectifs pour concrétiser ses envies.
Voyages So-Leader évalue les impacts durables et environnementaux des destinations et des programmes proposés avec la note TravelScore. De plus, quelle que soit la destination ou le programme de voyages, So-Leader permet de donner à une cause, bénéficier aux œuvres de bienfaisance, et stimuler l’épanouissement personnel. En concrétisant ce besoin de conscience sociale, quel que soit l’organisme, chacun peut aider les autres selon ses valeurs, priorités et principes personnels.
Améliorer la vie des autres est un privilège plus qu’une obligation ; cela renforce nos valeurs et convictions éthiques tout en démontrant à nos enfants que chacun peut contribuer aux changements positifs. Ces dons de bienfaisance peuvent inspirer les proches, famille, relations, collègues, créant un lien autour d’un objectif commun.
Voyages So-Leader incite à faire un don à une association caritative, sélectionnant plus de 35 associations dans 5 domaines d’action, des organismes de bienfaisance qui œuvrent pour des causes importantes. de la culture à la santé, de l’enfance à l’environnement, de la solidarité au respect des droits humains.
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